Chapitre 4: A l'assaut

Publié le par Le Simérien

Chapitre 4: A l’assaut

Je suis resté totalement tétanisé sur place pendant un temps qui m’a paru très long mais je ne sais pas réellement combien de temps je suis resté comme ça. J’ai vu arrivé environ une cinquantaine de cavaliers habillés tout en noir avec un symbole très particulier sur le torse peint en rouge, c’était un symbole avec plein de triangles dans une drôle de configuration. Je ne serais pas trop vous le décrire plus.

Ils ont chargé les premiers villageois. Les sabots de leurs montures ont fait craqué les os des pauvres paysans d’une façon qu’ont fait craqué de la paille entre ses mains. Le sang a inondé le sol et le trot puissant l’a fait giclé de partout rappelant les clapotis lors des grosses pluies. Puis ils ont commencé à lancer des torches pour brûler tout le village et c’est à ce moment là que les premiers hommes ont commencé à prendre les armes pour défendre leur famille et leur ferme mais je savais qu’ils n’avaient aucune chance de survivre mais c’est à se moment là que je me suis ressaisi et que je suis parti chercher des armes pour les aider à se défendre.

J’aurais préférer prendre la fuite mais je ne voulais pas devenir la honte de tout mon village. Et puis je savais que mon père ne pourrait pas défendre son logis. J’ai donc saisi mon marteau le plus équilibré et la dague que je me suis forgé pour le plaisir. Puis je suis ressorti et juste à ce moment un cavalier est passé devant moi, je me suis baissé juste à temps pour éviter un coup,de masse d’arme plein de pieux en fer d’où coulaient un nombre étonnant de goutte de sang, de plus, je vis un peu de cervelle collé encore à un de ces pieux qui me rafla le visage. Juste après ce mouvement j’envoya un coup puissant de marteau dans la patte arrière du canasson qui se déboîta dans un bruit de tonnerre qui me fit sourire. Je me suis ensuite jeté comme l’aurait fait tout bon simérien sur le cavalier et je lui ai transpercé la gorge d’un coup sec et quand le sang m’a giclé au visage, j’ai avalé tout ce qui était à portée de ma langue avec un plaisir sadique. Mais tout autour de moi je voyais mes compagnons se faire étriper, couper en deux et tout sorte de torture.

J’ai reçu un gros mal au cœur en voyant un soldat tenir un tête décapitée dans les mains et rigoler à pleine voix, la tête a tournée et j’ai reconnu aussitôt le regard de mon père. Je me suis aussitôt énervé et je me suis mis à courir dans sa direction mais je n’ai jamais atteint ma destination car un cheval s’est écrasé sur moi. Et ça a été la fin.

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F
y a du suspens !!!!!!!!
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L
A  qui pense tu???
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L
n'es ce pas ... ?<br /> je laisse le suspence!
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L
je le dis juste pour les gens bête<br />  
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L
oui on avait compris..3 si ton histoire s'arrêté là, ça serait franchement foireux! mdr!
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